Proclamée, en 2011, priorité nationale, le chantier de la transition énergétique n’a cessé, depuis, d’être confronté à des blocages divers, engendrant d’importants retards qui ont sérieusement entravé sa mise en œuvre. En réaction, le Premier ministre a, samedi, réclamé un rapport « sans complaisance » pour cerner les carences constatées.
Le Secrétaire général du Commissariat aux énergies renouvelables, relève que dans le domaine l’Algérie reste en retard, par rapport à ses voisins immédiats. Maintenant que les tenants et les aboutissants de cette situation sont, désormais, connus, il va falloir, dit-il, clarifier le discours et « cibler les goulots d’étranglement », afin que les choses puissent avancer correctement.